1ÈRE EDITION DES OSCARS D’AFRIQUE: Les promoteurs veulent honorer les artistes sénégalais   

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Oscars d’Afrique, une cérémonie de récompense dédiée à tous les artistes, acteurs culturels et entrepreneurs qui a pour thème « l’art d’hier à aujourd’hui », est prévu le 10 décembre prochain à Dakar. 

 

La 1er édition de l’événement Oscars D’Afrique, une structure audiovisuelle de « Feel  Free Production », est prévue le 10 décembre prochain à Dakar. Selon Cheikhna Ahmed Tidjani Ba dit « Morez », manager général de Feel free production et Promoteur d’Oscars d’Afrique, cette activité vise à récompenser tous les artistes, acteurs culturels et entrepreneurs.

Cette cérémonie abritera également un dîner de gala, permettant de consolider les liens entre artistes. À l’en croire, la principale raison d’organiser une remise de prix est de montrer de la reconnaissance pour la réussite d’individus en particulier.

Le thème de cette 1er édition fait allusion « l’art d’hier à aujourd’hui ».

Cette cérémonie Awards consiste à saluer l’excellence dans les domaines de l’art de la culture et de l’entreprenariat qu’œuvrent les jeunes sénégalais en premier, mais plus tard pour plus d’ampleur en Afrique. «Le but, c’est de magnifier tout ce qui se fait de bien de manière générale pour que tous les mélomanes se sentent d’eux mêmes dans cette cérémonie.

«Au total, il y aura 17 catégories à récompenser et 20 « Sargal », dont « 8 pour les icônes, 6 pour les entrepreneurs et 6 pour les golden boy », a indiqué M. Ba. Il a fait savoir que si on parle de « Golden boy », on fait référence à la nouvelle génération qui est dans une voie pour embrasser le milieu de l’art.

Embrayant dans le même sens, Massamba Guèye, Directeur artistique de Feel free production et chargé de la logistique d’Oscars d’Afrique, explique tout de même qu’ils n’ont pas de budget à mettre sur la table pour l’événement. «On avait juste le projet au début, en faisant des démarches avec des sponsors, des partenaires en allant avec notre propre fond, on peut dire qu’à 80% de l’événement, c’est nous qui gérons par notre propre moyen », dit-il. Mieux renchérit-il, « on a vu que la culture est un peu délaissé, on ne lui a pas donné son vrai statut par exemple les événements qui viennent de passer récemment comme la biennale, sont passés sans aucun effet. La majeure partie des gens ne savent pas le but de ces événements ».

À cet effet, il a appelé  les Sénégalais à venir «apporter leur touche pour que l’événement réussisse ».

 

DIANA DIA

 

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